A la recherche des finalités objectives qui donnent du sens à la théorie sur la valeur. – Hacia la búsqueda de fines objetivos que den sentido a la teoría del valor

  1. A la recherche des finalités objectives qui donnent du sens à la théorie sur la valeur.

            En suivant le courant qui nie l’utilité du contenu hédonistique et en adoptant l’artifice géométrique de la courbe d’indifférence, Pareto a découvert que nous pouvions définir le concept de certains besoins en utilisant une échelle de préférence.  Le concept quantitatif de l’utilité n’est pas nécessaire pour expliquer les phénomènes de marché. La théorie de Pareto a démontré qu’il était possible de formuler un concept rigoureux de «l’optimum » en évitant les comparaisons sur l’utilité et les jugements de valeur et en prétendant être valable pour tous les systèmes économiques. 

            Avec «  l’indice d’ophélimité », il a pu généraliser l’analyse de l’utilité pour les articles et a défini la notion « d’optimum » sans user de l’utilité mesurable ni les comparaisons interpersonnelles d’utilité. On ne peut améliorer le bien-être d’un individu sans détériorer celui d’un autre.1

            La somme des utilités pourrait être reformulée en la faisant dépendre seulement des ordres individuels et non des indices d’utilité. La tendance, qu’avait lancée Fischer, de préserver l’économie de l’intromission de la psychologie, ouvrait un nouvel horizon théorique. Selon lui, pour fixer l’idée d’utilité, l’économiste ne devrait pas aller au-delà de    «ce qui est utile » pour expliquer les faits économiques. 2

            La psychologie hédoniste, associée à la philosophie de l’utilité, a été utilisée pour déduire que le bien de chaque individu correspond à ses désirs. Chez Pareto, l’idée d’un idéal social était présente, mais formellement dissociée de toute idée concrète d’utilité et de bien.

             L’optimum général de Pigou, moins rigoureux que celui de Pareto, et son produit marginal social vont occuper une place unique dans l’histoire de la pensée économique.

Son œuvre The Economics of Welfare représente, selon Myint, une combinaison intermédiaire entre la perspective concrète et particulière des économistes anglais et la méthode formelle des économistes européens, entre l’optimum général européen et le néo-classicisme anglais.

            On essayait, alors, de réaliser une fonction de bien-être social, formée par les différentes attitudes sociales des hypothèses individualistes se manifestant par la consommation individuelle. N’oublions pas que la révolution subjectiviste avait intronisé la consommation au rang de finalité. La possibilité d’avoir une opinion sur le bien-être social reposait sur une similitude des attitudes avec les alternatives sociales. 3  

            L’économie du bien-être reposait sur une base subjectiviste, en considérant que les nécessités des individus sont connues et constantes.

            De nombreux économistes, de Ruskin à Herbert Spencer ou de Veblen à F.H.Knight, en passant par Clark, se sont opposés à l’économie du bien-être en argumentant qu’un système qui se limite à accepter que les nécessités et objectifs des individus sont invariables ne peut être considéré comme une étude du bien-être social.

            Se concentrer sur le mécanisme de satisfaction des besoins invariables suppose un niveau élevé d’irréalité. Non seulement les besoins changent continuellement mais en plus ils se caractérisent par le fait qu’ils augmentent et évoluent. La finalité des hommes consiste à tâter le terrain continuellement jusqu’à trouver leurs besoins exacts  et chercher de nouvelles bases pour de nouveaux besoins. 4

            Avec l’économie du bien-être, fondée sur le subjectivisme et des besoins connus et constants, on essayait de dépasser le bien-être individuel pour répondre à une fonction sociale, idéale et nécessaire.

            Hayek fut le grand critique de cette tendance. Il reprochait au collectivisme de Compte et à l’Historicisme de Schmoller,  de transférer les méthodes des sciences physiques aux sciences sociales, sans faire de distinctions. Parce que les sciences physiques ne s’intéressent pas aux agissements de l’homme par rapport à la matière, mais seulement aux relations physiques des choses entre elles, on peut parler, dans ce domaine, de conduites universelles invariables. Nous avons tendance à accepter que le terme d’ « ensemble » social corresponde  à celui « société » et nous admettons le concept de « capitalisme » comme s’il s’agissait d’une entité objective. Hors, les seules matières dont dispose le chercheur en sciences sociales, sont les individus et leurs relations entre eux. Aucun modèle ne peut reproduire, avec exactitude, ces complexes relations qui peuvent se produirent simultanément dans la réalité.

            Certains auteurs ont essayé de développer de fausses « théories » ou « philosophies » sur l’histoire, dans le but de démontrer que ces « ensembles » succèdent à d’autres, comme s’il s’agissait d’ « étapes » ou de « phases » suivant « la logique des faits ».

            La critique qu’Hayek fit à Compte et Schmoller peut s’appliquer à l’ensemble de l’école institutionnelle américaine, dirigée par Veblen.5

            L’école institutionnelle, combinée aux  enseignements de Clark, a permis l’existence de ce que nous appelons « l’école de la valeur sociale ». Parmi ses représentants, nous pouvons citer : B.M. Anderson, J.R. Seligman et J.M.Clark. 6

            L’idée de chercher « la valeur sociale » idéale, qui ne dépende pas du montage institutionnel de l’économie du changement et qui puisse être considérée comme valide pour un état socialiste, remonte au concept de « valeur naturelle » de Weiser. Selon cet économiste, cette « valeur naturelle » régnerait dans une société communiste idéale ayant une autorité centrale capable d’agir, tel un centre nerveux.7

            L’idée que l’homme est la finalité de l’économie, a pris de plus en plus de valeur ces derniers temps et en particulier depuis l’introduction des causes subjectives finales dans l’analyse. Le composant humain est devenu important dans les considérations sur la valeur économique. L’élément humain, en opposition à l’élément mécanique, devient de plus en plus important dans la science économique. Cette nouvelle tendance est visible dans les études historiques de Cliffe Leslie, ainsi que dans les œuvres de Bagehot, Cairnes, Toynbee et de bien d’autres encore. Marshall mentionnait les économistes allemands, en particulier Hermann et Wagner, quand il soulignait l’amplitude des efforts humains auxquels s’intéresse l’économie. 

            Avec l’élément humain au centre de la réflexion sur l’activité économique, il devenait difficile de maintenir une position éthique strictement neutre. Lors de l’étude du « contenu concret » des besoins, ou dans la comparaison entre deux situations où les besoins ont changé, il est difficile d’éviter une critique sur les jugements de valeur.  Myrdal était catégorique sur ce sujet, ses arguments se retrouvent dans la citation de Mill : « Il est probable qu’une personne ne soit pas un bon économiste si elle n’est rien d’autre qu’une simple personne ».

            La crise du subjectivisme excessif commence à se résoudre avec la recherche scientifique des finalités objectives de la nature humaine.

            Si nous admettons  la théorie de Knight-Clark  sur la croissance dynamique inhérente aux nécessités, qui est un indicatif de la liberté et de l’originalité que Hayek a tant défendue,  nous ne pouvons plus conserver la structure statique de la théorie sur l’optimum en traitant les changements sur les nécessités de «  changements hexogènes » des données. Les besoins deviennent des données variables. Les besoins, les objectifs de l’action humaine doivent être étudiés.  Mises affirmait que l’économie est une science de l’action, celle qui nous mène à chercher les motifs objectifs de l’action humaine. En étudiant la théorie sur la valeur, nous trouvons l’éthique. A mon avis, nous nous trouvons à cette étape de la pensée économique. Cela suppose une recherche subjective, de la part de l’économiste, sur les véritables finalités de l’homme dans ses actes économiques.

            Tous ces éléments nous mènent à la conclusion suivante : si l’économie est « une étude de l’humanité des affaires ordinaires de la vie », ce serait une erreur de la considérer comme un processus mécanique satisfaisant des besoins fixes. Clark a écrit : « De nombreuses matières réellement économiques ne peuvent être considérées comme appartenant au terme de valeur d’échange » La perspective éthique du problème du bien-être n’est pas liée au concept économique de la valeur relative, mais plutôt à celui de valeur absolue. La mesure quantitative du succès, une fois les objectifs atteints, ne nous intéresse pas, nous nous intéressons davantage à la qualité éthique de ces objectifs.

            « Un abîme logique sépare l’analyse du bien-être économique plus limité au niveau physique et l’analyse subjective du problème plus général du bien-être social au niveau éthique. Les deux premiers niveaux peuvent produire des propositions de bien-être scientifique pouvant être démontré logiquement. Mais on se limite à démontrer les implications d’une certaine action et à comparer la possibilité ou non d’atteindre certains objectifs par l’une ou l’autre des méthodes. Par conséquent, si nous voulons passer de l’analyse scientifique du bien-être à une politique sociale pratique, nous devons passer au niveau éthique et émettre des jugements de valeur pour savoir si nous devons ou non viser certaines finalités. Mais, si nous choisissons cette option, nous ne pouvons pas appliquer un calcul quantitatif pour évaluer la qualité éthique des finalités ultimes. »8   

1 PARETO, Manual of Political Economy, McMillan, Nueva York 1971.
2 FISCHER, Mathematical Investigations on the theory Value and Prices, 1982, p.67, en HUTCHESON, Historia del pensamiento…
3 ARROW, op.cit., p.164.
4 KNIGHT, Risk, Uncertainty and Profit, University of Chicago Press, Chicago 1971. CLARK, Preface toSocial Economics, The Social Control of Business, The Trend Economics.
5 HAYEK, “Scientism and the Study of Society”, Economica, agosto 1942; “The Facts and the Social Sciences”, Ethics, octubre 1943, Economics and Knowledge, Economica, febrero 1937.
6 HANEY, “The social Point of View in Economics”, Quaterly Journal of Economics, vol. XXVIII, 1914, p.115 y 292 y ss. 
7 SCHUMPETER, “Social Value”, Quaterly Journal of Economics, 1909, p.416-20.
8 MYINT, op.cit.,pp. 389-390.

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE – FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO

Texto original del autor en el idioma castellano (español europeo):

Hacia la búsqueda de fines objetivos que den sentido a la teoría del valor

Pareto, continuando la corriente de vaciar la utilidad de conteni­do hedonístico y adoptando el artificio geométrico de la curva de indiferencia, descubrió que se podía definir el concepto de determi­nadas necesidades como una escala de preferencias dada. El concep­to cuantitativo de la utilidad no es necesario para explicar fenómenos de mercado. La teoría paretiana demostró la posibilidad de formular metodológicamente un concepto riguroso del óptimo eludiendo las comparaciones de utilidad y los juicios de valor, pretendiendo ser válido para todos los sistemas económicos. Con el «índice de ofelimi­dad» pudo generalizar el análisis de utilidad para artículos relaciona­dos y definió el óptimo sin utilizar la utilidad mensurable y sin com­paraciones interpersonales de utilidad. Ningún individuo puede mo­verse a una posición preferida sin llevar a los demás a posiciones menos preferidas. 1

La suma de las utilidades se podría reformular haciéndola depen­der solamente de las ordenaciones individuales y no de los índices de utilidad. La tendencia iniciada por Fisher de preservar la econo­mía de la intromisión de la psicología, cuando indicaba que para fijar la idea de utilidad el economista no debería ir más allá de lo que es útil para explicar los hechos económicos, abría un nuevo horizonte teórico. 2

La psicología hedonista, asociada con la filosofía utilitaria, se usó para deducir que el bien de cada individuo es lo mismo que sus deseos. En Pareto se presentaba la idea de un ideal social, pero formalmente desvinculada de toda idea concreta de utilidad y de bien.

Un concepto no tan riguroso como el paretiano fue el óptimo general de Pigou y su producto marginal social que, en la misma línea de razonamiento, estaría llamado a ocupar un puesto único en la historia del pensamiento económico. Su obra The Economics of Welfare representa, según Myint, una combinación intermedia entre el enfoque concreto y particular de los economistas ingleses y el método formal de los economistas continentales, entre el óptimo ge­neral continental y el neo clasicismo inglés.

Se intentaba, entonces, realizar una función de bienestar social formada por las diferentes actitudes sociales que se siguen de las hipótesis individualistas manifestadas a través del consumo indivi­dual. No olvidemos que la revolución subjetivista había entronizado el consumo a la categoría de fin. La posibilidad de hacer juicios sobre el bienestar social descansaba en una similitud de actitudes hacia las alternativas sociales. 3

Cada individuo valora diferentes situaciones sociales en econo­mía del bienestar atendiendo solamente al consumo que hace en cada una de ellas. Los individuos son libres de elegir entre las alter­nativas disponibles variando sus valores. La función de bienestar so­cial, según Arrow, no debe impedir, por su propia definición, expre­sar una preferencia de alternativa dada sobre otra.

La economía del bienestar se estaba fundamentando en una base radicalmente subjetivista y consumista y, a su vez, se basaba en el supuesto de tener que aceptar como dadas y constantes las necesidades de los individuos.  

.Una gran cantidad de economistas, que van desde Ruskin hasta Herbert Spencer y desde Veblen a F. H. Knight, pasando por Clark, han puesto objeciones a la economía del bienestar indicando que un sistema limitado a la condición de aceptar como dadas y constantes las necesidades y objetivos de los individuos no puede ser lo bastante amplio como para ser un estudio del bienestar social.

Concentrarse en el mecanismo formal de satisfacer las necesida­des dadas y constantes supone un alto grado de irrealidad, puesto que las necesidades no sólo están cambiando continuamente, sino que su propia característica es crecer y cambiar. La finalidad de los individuos en la vida es tantear continuamente hacia lo que cada cual considera que es la clase justa de necesidades, y habitualmente busca nuevas bases de nuevas necesidades. 4

Con la economía del bienestar, además de fundamentarse en una base radicalmente subjetivista y necesidades dadas y constantes, se intentaba traspasar la función de bienestar individual mayoritaria a función social ideal e imperativa.

Hayek ha sido el gran crítico de esta tendencia. Achacaba al colectivismo de Compte y al historicismo de Schmoller el trasladar indiscriminadamente los métodos de las ciencias físicas a las sociales. Solamente en las ciencias físicas, que no están interesadas por las reacciones libres del hombre sobre las cosas, sino por las reacciones físicas entre las cosas, se puede hablar de conducta fija universal. Se tiende a aceptar «conjuntos» sociales tales como «sociedad» y «capi­talismo» como si fueran entidades objetivas dadas. Sin embargo, las únicas materias dadas al científico social son los individuos y sus relaciones entre sí. Ningún modelo puede reproducir ampliamente todas las complejas relaciones entre esos elementos que se pueden observar simultáneamente en la vida real.

Estos autores han tratado de derivar falsas «teorías» o «filoso­fías» de la historia con la finalidad de demostrar cómo esos «conjun­tos» se suceden unos a otros en «etapas» definidas o «fases» según la «lógica de los hechos».

       La crítica de Hayek a Compte y Schmoller puede extenderse a la escuela institucional norteamericana, encabezada por Veblen . 5

La escuela institucional, combinada con las enseñanzas de Clark, produjo la escuela del «valor social» Entre sus representantes cabe citar a B. M. Anderson, Jr. Seligman, J. M. Clark. 6

La idea de buscar el (valor social» ideal, que no dependiera del montaje institucional de la economía del cambio y que fuera válido, a su vez, para un estado socialista, puede remontarse al concepto de Wieser del «valor natural», que reinaría en una sociedad comunista ideal con una autoridad central que actuase como un verdadero cen­tro nervioso .7

El reconocimiento de que el fin de la economía es el hombre se ha ido acentuando en los últimos tiempos, a partir de la introducción de las causas últimas subjetivas en el análisis. El componente huma­no cobra cada vez más importancia en las consideraciones del valor económico. El elemento humano, en contraposición al mecánico, está adquiriendo un lugar cada día más importante en la ciencia económica. Esta nueva tendencia se puede comprobar en los estu­dios históricos de Cliffe Leslie y en las obras de Bagehot, Cairnes,

Toynbee y otros. Marshall mencionaba a los economistas alemanes, especialmente a Hermann y Wagner, al subrayar la amplitud de esos esfuerzos del carácter humano con los que la economía está interesa­da.

Con esta perspectiva del elemento humano en el centro de refle­xión de la actividad económica, era imposible mantener una posición de neutralidad ética estricta. En el estudio del «contenido concreto» de necesidades, como al comparar dos situaciones en las que las necesidades hayan cambiado, no puede evitarse una crítica de los juicios de valor. Myrdal afirmó tajantemente esta perspectiva y sus argumentos se pueden resumir en la frase de Mill: «No es probable que una persona sea un buen  economista si no es más que eso.»

La crisis del excesivo subjetivismo popular o impuesto se empie­za a resolver en la búsqueda reflexiva y científica de los fines objeti­vos de la naturaleza humana que atraen sobre sí los subjetivos.

Una vez que se acepta la teoría de Knight-Clark del crecimiento dinámico inherente a las necesidades, que es un indicativo de la originalidad y libertad que Hayek tanto defiende, ya no podemos conservar la estructura estática de la teoría del óptimo tratando los cambios en las necesidades como «cambios exógenos» de los datos. Las necesidades se convierten en algo inestable para ser tratado como dato. Las necesidades, los objetivos de la acción humana, nece­sitan ser estudiados. La afirmación de Mises de que la economía es una ciencia de la acción nos lleva a la búsqueda de los motivos básicos objetivos de la acción humana. En el itinerario del estudio de la teoría del valor nos encontramos con la ética. Y, en mi opinión, es en esta etapa del pensamiento económico en la que estamos vi­viendo actualmente. Ello supone la búsqueda subjetiva del econo­mista en lo que respecta a la indagación de los verdaderos fines y objetivos del hombre en su actuación económica.

Todo ello nos lleva a concluir que si la economía es «un estudio de la humanidad en los negocios ordinarios de la vida», es inadecua­do considerada como un proceso mecánico de satisfacer necesidades dadas y que, como indicaba Clark, muchas materias verdaderamen­te económicas no pueden estar contenidas en la casilla de valores de cambio». El enfoque del problema del bienestar al nivel ético está relacionado, naturalmente, no con el concepto económico de valor relativo, sino con el concepto de valor absoluto. No se interesa por la medición cuantitativa del éxito al lograr los fines dados, sino con la valoración de la calidad ética de los propios fines.

«Por tanto, una laguna lógica separa el análisis del bienestar eco­nómico más limitado en los niveles físico y subjetivo del problema más amplio del bienestar social al nivel ético. Los dos primeros nive­les pueden llegar a producir proposiciones de bienestar científico que se pueden demostrar lógicamente y que se interesan por cantida­des que se pueden considerar bajo la categoría del más y del menos. Pero su campo está limitado a demostrar las implicaciones de una acción dada y a comparar la eficacia relativa de alcanzar fines dados por métodos alternativos. Por lo tanto, si deseamos pasar desde el análisis científico del bienestar a la política social práctica, nos vemos obligados a entrar en el nivel ético y a hacer juicios normativos que se refieren a saber si se deben perseguir o no los fines dados. Al hacer esto, sin embargo, no es posible aplicar el cálculo cuantitativo al valorar la calidad ética de los fines últimos». 8

_______________________

 PARETO: Manual of Political Economy, MacMillan, Nueva York 1971.
FISHER, Mathematical Investigations on tht. theory Value and Prices, 1892, p.67, en HUTCHESON, Historia del pensamiento….
 ARROW, op. cit., p. 164.
 KNIGHT, Risk, Uncertainty and Profit, University of Chicago Press, Chicago
  1. CLARK, Preface to Social Economics, The Social Control of Business, The Trend Economics
 HAYEK, «Scientism and the Study of Society», Ecol1omica, agosto 1942; «The Facts of the Social Sciences», Ethics, octubre 1943; Ecol1omics and Know!edge», Economica, febrero 1937.
  HANEY, L., «The Social Point of View in Economics», Quaterly Journal of
Economics, vol. XXVIII, 1914, p.115 y 292 y ss.
 SCHUMPETER, «Social Value», Quaterly journal of EconomicJ, 1909, p. 416-20.
 MYINT, op. cit., pp. 389-390

FONDEMENTS DE LA VALEUR ECONOMIQUE – FUNDAMENTOS DEL VALOR ECONÓMICO